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Uriel Prescott

ft Jeffrey Dean Morgan
Leader Unite 4
50 ans
Celibataire
Heterosexuel

C’est un vendredi 13 Août 1971 que le petit Uriel vit le jour pour la première fois. Bénédiction ou malédiction ? Tout dépend de quel côté on se trouve. Pour ses parents c’était une bénédiction, eux qui avaient toujours rêvé d’avoir un enfant, ils en avaient enfin un. D’ailleurs, ce n’était pas un mais deux enfants qu’ils auraient dû avoir. Malheureusement le second né fut mort-né, le cordon ombilical du premier né enroulé autour de son cou. Ils auraient dû voir ça comme un signe et ne jamais accordé leur vie à cet enfant qu’ils appelèrent Uriel comme le quatrième archange dont le nom signifie « lumière ».

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La vie du petit Uriel fut entouré d’amour de la part de ses parents malgré l’absence répétée de son paternel qui dirigeait une grande firme pharmaceutique pour subvenir aux besoins de la famille. Ce n’était donc pas par manque d’amour et de considération que le seul et unique héritier de la famille Prescott s’amusait à martyriser ses camarades de classes. Car oui, malgré ses cinq ans, Uriel s’adonnait à des plaisirs assez malsains pour un enfant de son âge. Il demandait à certains de ses camarades de monter en haut de leur structure de jeux et de sauter contre un ou deux bonbons. Il voulait savoir ce que ça faisait lorsqu’un corps tombait de si haut. Il lui arriva même de faire tomber une employée du haut d’un escalier juste pour entendre le son des os craqué. Bien évidemment vous vous doutez bien que personne ne crut cet enfant de faire ce genre de choses. Après tout il est le fils unique d’une grande famille et sa tête était si mignonne… Comment pouvait-il faire ce genre de choses ? De plus, où donc étaient les preuves de ces accusations ? Nulle part, bien évidemment car elles n’existaient pas.

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15 ans, l’âge ingrat où l’enfant est adolescent et devient un rebelle. Mais ne l’était-il pas avant ? Dès sa naissance ? Laissez-moi en douter. Comme tous les enfants de cet âge Uriel sortait beaucoup mais si seulement ça c’était arrêté à cela. Non seulement il passait son temps à sécher et à boire mais il maltraitait ses camarades de classe. La volonté et le désir humain était une chose si étrange. Contre quelques pièces, certains étaient prêt à se scarifier ou même frapper d’autres camarades, juste… pour le plaisir. C’était si amusant de voir que les sévices s’amplifiaient de plus en plus et à chaque fois que ses parents étaient convoqués, l’argent pleuvait à flot pour réparer ses « jeux d’enfants ».

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Dix-huit ans, l’âge de l’émancipation. Son père avait décidé de le mettre dehors sans aucune ressource. Comment pensez-vous que Uriel ait réagit ? L’entreprise de son père partit en fumée, comme ce dernier. Un incendie créé par un camarade de classe de Uriel car son père, qui travaillait là-bas, venait d’être viré. Etrange, n’est-il pas ? D’autant que sa mère fut tuée dans un accident de voiture. Un virage trop serré, un peu d’alcool dans le sang… Rien n’a été prouvé que ce soit le fils dévasté et nouvellement riche qui en soit l’auteur. D’ailleurs, pourquoi aurait-il fait ça ? Quelles sont les preuves ? Les preuves… Preuves qui accusent toujours un tier, comme… par hasard.

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Uriel rejoint les forces spéciales à l’âge de 27 ans. Très intelligent, futé, il savait exactement quel levier actionner pour obtenir ce qu’il voulait. Etrangement il n’y eut pas trop d’écho de cette vie, même de ces dix dernières années. Avait-il été marié ? L’était-il ? Des enfants ? Trop de facteurs inconnus et un blanc sur son CV ne permettait pas de connaître cette tranche de vie. Mais au vu de son parcours presqu’exceptionnel, il se put qu’il ait été interné pour contrôler ses pulsions de tortures. Du moins, c’était l’impression qu’il sonnait mais en réalité il en était autre car en cherchant bien, en fouillant bien dans les placards, les cadavres ne cessaient de s’empiler. Bien évidemment, comme d’habitude, aucune plainte, aucune preuve ne purent mener à cet homme. Des blessures sur des interpellations mais c’était toujours dû à une malencontreuse chute. Comment faire confiance à la justice quand on sait qu’un monstre s’y est installé ? Un monstre qui avait sa place parmi les meilleurs éléments car, on ne pouvait le nier, le nombre de crimes avaient baissé depuis qu’il était dans le service.

Pourtant une rencontre bouscula sa petite vie tranquille. En effet, alors qu’il venait de passer le cap des 35 ans, il fit la connaissance d’une jeune adolescente du nom de Valence. C’était une mule et elle travaillait pour un dealer, un dealer qu’il avait en grippe et dont sa gueule ne lui revenait pas. Uriel décida donc de voir à quel point il pouvait supporter la douleur et ce fut ainsi qu’il croisa la jeune adolescente. Leur rencontre fut assez mouvementée et des mots vola plus haut que d’autres mais au final, une relation assez spéciale naquit entre les deux. Une relation qui ne peut être décrite avec des mots. Comme à son habitude aucune preuve n’existe sur ce fait et seuls les mots d’un clochard saoul peuvent attester de cette histoire mais pourquoi ne pas y croire lorsque l’on connait toute l’histoire de cet homme ?

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​Cinq ans après cette rencontre, Uriel quitta la Police pour rejoindre les extrémistes beaucoup plus lucratifs à ses yeux. Il pouvait enfin laisser libre court à son imagination et faire souffrir comme il l’entendait. Ce groupe qui n’aime pas, que dis-je, qui haït les métamorphes comme ce n’est pas permis a trouvé en la personne de Uriel un allié de taille. Ce dernier aimant la torture et cherchant quelle est la manière façon de faire durer ce petit jeu est un atout majeur dans leur rang d’autant qu’il sait comment ne pas attirer l’attention sur lui, ayant l’habitude depuis toujours. Il y retrouvera d’ailleurs Valence et d’autres nouveaux compagnons qui partageront sa façon de voir les choses. Métamorphes, humains, peu importe pour cet homme tant que la souffrance est le mot d’ordre.

Biographie

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